Portes ouvertes au CFTR de Mirabel!

6 novembre 2024 de 16 h à 20 h

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Documents officiels

Former des travailleurs compétents et professionnels pour l’industrie du transport routier.

Travailler ensemble à accompagner les apprenants dans le développement de leur plein potentiel en partageant nos connaissances et notre passion.

Respect

Nous sommes à l’écoute des autres et tenons compte des besoins de chacun

Collaboration

Nous travaillons ensemble pour la réussite de nos élèves

Professionnalisme

Nous représentons notre profession en démontrant une attitude exemplaire

Le document Normes et modalités établit et précise les valeurs, les orientations et les lignes directrices pour guider l’évaluation des apprentissages en respectant les dispositions légales et réglementaires applicables.

Le ministère de l’Éducation, le ministère des Transports, la Société de l’assurance automobile du Québec, le Camo-Route ainsi que le Centre de services scolaire de la Rivière-du-Nord, conviennent de collaborer à la gestion du centre, spécialisé dans l’enseignement des métiers reliés à l’industrie du transport routier, Le Centre de formation du transport routier de Saint-Jérôme. 

Le comité de gestion formé par des membres provenant de chacune de ces instances tient des séances afin de présenter et d’adopter les orientations et les objectifs annuels du centre. 

Le CFTR s’est doté d’un plan de lutte visant à contrer l’intimidation et la violence.

Si vous vivez une situation d’intimidation ou de violence, ou si vous en êtes témoin, vous pouvez en parler à un membre du personnel.

POUR FORMULER UNE PLAINTE

Pour déposer une plainte, vous devrez d’abord vous adresser à la personne directement concernée ou à son supérieur immédiat.

Vous pouvez faire la plainte verbalement, mais il est préférable de la faire par écrit. Cela permettra de garder des traces des échanges et de faciliter le calcul des délais pour le traitement. La personne qui recevra la plainte a un délai de 10 jours ouvrables pour vous répondre.

Si vous demeurez insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 10 jours ouvrables est dépassé, adressez-vous au responsable du traitement des plaintes du centre de service scolaire.

Cette étape peut se faire oralement mais il est recommandé de conserver des écrits de vos démarches. La plainte sera traitée dans un délai de 15 jours ouvrables. 

Protecteur national de l’élève

Si vous êtes toujours insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 15 jours ouvrables est dépassé, vous devrez vous adresser au protecteur régional de l’élève de votre région. Le protecteur vous assistera dans la formulation écrite de votre plainte.

Le protecteur régional de l’élève aura 20 jours ouvrables pour examiner votre plainte. Il formulera les recommandations au centre de services scolaire.

Le Protecteur national de l’élève aura 5 jours ouvrables pour informer le protecteur régional de l’élève de son intention d’examiner la plainte. S’il décide d’examiner la plainte, il aura 10 jours ouvrables pour en terminer l’examen et substituer ses conclusions ou ses recommandations à celles du protecteur régional de l’élève.

Le protecteur régional de l’élève informera la personne plaignante et le centre de services scolaire des conclusions et des recommandations.

Le centre de services scolaire aura 10 jours ouvrables pour informer la personne plaignante et le protecteur régional de l’élève des suites qu’il entendra y donner et, le cas échéant, des motifs justifiant son refus d’y donner suite.

Protecteur national de l’élève

Faire un signalement d’un acte de violence à caractère sexuel :

Un signalement, qui peut être fait par toute personne, n’est possible qu’en situation d’acte de violence à caractère sexuel commis à l’endroit d’un élève qui fréquente un établissement d’enseignement.

Un tel signalement est effectué directement au protecteur régional de l’élève, sans avoir à passer par les deux premières étapes du processus, par:

  • Une enseignante ou un enseignant
  • Une professionnelle ou un professionnel œuvrant en milieu scolaire
  • Une employée ou un employé membre de la direction d’un établissement d’enseignement
  • Un autre élève ou l’un de ses parents
  • Etc.

 La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre:

Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

Protection contre les représailles

La Loi sur le Protecteur national de l’élève protège contre toute représailles ou menace de représailles les personnes qui portent plainte ou qui font un signalement, collaborent au traitement d’une plainte ou d’un signalement ou accompagnent une personne qui formule une plainte ou un signalement.

Il est également interdit de menacer une personne de mesures de représailles pour qu’elle s’abstienne de porter plainte ou de faire un signalement.

Pour l’élève ou les parents formulant une plainte ou un signalement, sont présumées être des mesures de représailles: 

  • Le fait de les priver de droits
  • L’application d’un traitement différent
  • La suspension ou l’expulsion de l’élève 

Pour le personnel d’un établissement d’enseignement effectuant un signalement ou collaborant à l’examen d’une plainte ou d’un signalement, sont présumées être des mesures de représailles: 

  • Sa rétrogradation
  • Sa suspension
  • Son congédiement
  • Son déplacement
  • Toute sanction disciplinaire ou autre mesure portant atteinte à son emploi ou à ses conditions de travail 

Les amendes pour une personne physique qui exercera des mesures de représailles ou menacera de le faire peuvent aller de 2 000 $ à 20 000 $. Ces amendes peuvent aller de 10 000 $ à 250 000 $ pour les personnes morales.